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Chez le sujet âgé, les signes cliniques sont similaires à ceux observés chez le sujet jeune. Dans un cas sur deux, la maladie survient à tout âge et touche un grand nombre de personnes. Elle est souvent bilatérale et touche préférentiellement les articulations des membres inférieurs (genoux, chevilles). La maladie évolue en quatre phases. Dans la phase 1, on observe une fièvre élevée à 40°C et une augmentation des troubles de la vigilance. Dans la phase 2, on observe des troubles du sommeil avec un endormissement difficile et une agitation diurne qui persiste plusieurs jours après le début de la maladie. Dans la phase 3, la progression des troubles du sommeil s’accompagne d’une augmentation de l’anxiété avec une altération de la qualité de vie et un handicap fonctionnel. La phase 4 se caractérise par une évolution lente des troubles du sommeil avec une aggravation progressive de l’agitation et des troubles du sommeil.
Chez le patient âgé, les troubles du sommeil et la fièvre peuvent conduire à une hospitalisation en milieu spécialisé pour mettre en œuvre un traitement médical et chirurgical. Les signes cliniques sont souvent peu marqués et la maladie est souvent asymptomatique. Chez le sujet âgé, les signes cliniques sont semblables à ceux observés chez le sujet jeune. En revanche, les signes de la phase 1 sont plus marqués, comme la fièvre à 40°C et une augmentation des troubles de la vigilance. Des troubles du sommeil peuvent apparaître avec une altération de la qualité de vie et un handicap fonctionnel. La phase 3 de la maladie évolue lentement avec une augmentation de l’anxiété et des troubles du sommeil.
Au décours d’une crise aiguë, la prise en charge repose sur la prise en charge initiale et sur la prise en charge de la phase aiguë de la maladie. La prise en charge de la phase aiguë de la maladie doit être précoce et se concentrer sur la mise en route du traitement anti-VIH. Les signes cliniques sont marqués par une fièvre à 40°C, une augmentation des troubles de la vigilance, des myalgies et une altération de la qualité de vie. Un syndrome confusionnel peut survenir avec une agitation diurne persistante et des troubles de la conscience. Le syndrome hémorragique peut également être associé à la maladie et entraîner une mortalité élevée.
L’hospitalisation en milieu spécialisé permet le traitement médicamenteux de la phase aiguë de la maladie. Il s’agit de mettre en route un traitement antirétroviral comprenant l’éfavirenz, la névirapine et le stavudine. L’infection à VIH est traitée en 28 jours. Des antidépresseurs sont nécessaires pour traiter l’agitation et les troubles du sommeil.
La prise en charge des autres symptômes de la phase aiguë de la maladie repose sur la prise en charge initiale et sur la prise en charge de la phase aiguë. Elle comporte généralement :
– une antibiothérapie : une antibiothérapie prophylactique et anti-infectieuse de la phase aiguë est mise en œuvre avant toute prise en charge médicamenteuse ;
– des traitements de fond : il s’agit de traitements par des antidépresseurs tricycliques à longue durée d’action, des benzodiazépines et des antipsychotiques ;
– une surveillance de l’évolution de la maladie.
La durée de vie des personnes séropositives est de l’ordre de 7 à 8 ans après le début de l’infection. La plupart d’entre elles développent une infection opportuniste après 15 ans de contamination et développent des infections opportunistes. L’évolution vers une maladie chronique est fréquente au cours de la maladie chronique.
Les signes cliniques
Les signes cliniques sont les suivants :
– une fièvre : elle est élevée et varie de 40 à 42°C, et la température peut être difficile à prendre. La fièvre peut également survenir plus tard au décours d’une poussée aiguë de la maladie ;
– des troubles de la conscience : ils sont marqués par des difficultés à se concentrer et des troubles du langage ;
– des myalgies : elles peuvent être associées à une fatigue et à une anorexie ;
– des céphalées : elles sont fréquemment précédées d’une fièvre de l’ordre de 39°C et apparaissent au décours d’une poussée de la maladie. Elles peuvent être majorées par le stress et l’angoisse ;
– des troubles du sommeil : ils sont marqués par une agitation diurne et un endormissement difficile ;
– une agitation et des troubles du sommeil : ils sont fréquemment associés à une anorexie.
Les signes extra-digestifs
– une atteinte cutanée : des taches rouges qui peuvent former un liseré en relief et des vésicules suintantes ;
– une atteinte rénale : il s’agit d’un syndrome néphrotique qui est associé à une hématurie microscopique, des protéines dans les urines et un œdème des membres inférieurs, en particulier des chevilles ;
– un syndrome inflammatoire biologique est également observé ;
– une insuffisance rénale : les résultats des marqueurs du syndrome inflammatoire biologique sont élevés, ce qui peut conduire à un avis d’hospitalisation.
La prise en charge de la phase aiguë
L’arrêt du traitement antirétroviral doit se faire sans délai. Les antidépresseurs sont nécessaires pour traiter l’agitation et les troubles du sommeil.
La prise en charge de la phase aiguë de la maladie doit être précoce et se concentrer sur la mise en route du traitement antirétroviral.
Les signes cliniques et les signes extra-digestifs
Les signes cliniques et les signes extra-digestifs peuvent être confondus. Dans les formes graves, les troubles du sommeil et les myalgies peuvent apparaître plus tard au décours d’une poussée aiguë de la maladie.
Vidéo : Les manifestations de la maladie
La maladie à VIH évolue par poussées aiguës dont la durée et la sévérité varient selon les patients. Dans certaines formes chroniques, il est possible de retrouver des signes extra-digestifs (œdème des chevilles, céphalées, troubles du sommeil et fatigue) associés à des signes d’intolérance digestive.
Vidéo : La prise en charge de la phase aiguë
La prise en charge de la phase aiguë de la maladie est complexe et difficile à mettre en œuvre.
- La fièvre peut également survenir plus tard au décours d’une poussée aiguë de la maladie.
Chez le patient âgé, les signes cliniques sont similaires à ceux observés chez le sujet jeune.
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